Il y a trois grandes catégories de demandes. 1 : le collectionneur pour qui il s’agit d’un geste unique. 2 : le collectionneur qui a le désir de créer une collection en extérieur – c’est le cas de Philippe Austruy et sa propriété viticole à Peyrassol ou du parc de sculptures du château La Coste. 3 : les entreprises et les commandes publiques, qui ont pour objectif de promouvoir un projet.
Au Muy, les œuvres vont de 20 000 à 2 ou 3 millions d’euros. Nous en vendons quatre ou cinq par an. Pour la logistique, il y a plusieurs aspects. Pour garantir la sécurité, nous travaillons avec des ingénieurs. Les risques d’usure et de détérioration se multipliant avec le temps, il faut donc anticiper les risques de rouille ou de couleurs qui se ternissent. Il y a des conseils absolus d’entretien tels que refaire des vernis. Nous sommes obligés, lors de l’acquisition d’une œuvre, d’informer de la durée de vie de celle-ci dans les conditions initiales. Nous faisons également du curating et de la communication autour de l’œuvre.
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Questions à... Jean-Gabriel Mitterrand
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°714 du 1 juillet 2018, avec le titre suivant : Questions à... Jean-Gabriel Mitterrand