PARIS
Paris. L’antiquaire parisien ne manque pas d’audace.
Ce diplômé d’une grande école de commerce (l’Essec) dirige depuis 1998 la galerie créée en 1936 par ses grands-parents. En 2013, il prend la présidence de la société organisatrice du Salon du dessin qui inaugure dans quelques jours, le 8 novembre, un nouveau salon, sur le même modèle intimiste que le Salon du dessin : « Fine Arts Paris ». Une pierre dans le jardin de l’ex-Biennale des antiquaires. À 45 ans, Louis de Bayser a même sa notice dans le Who’s Who.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Louis de Bayser, et toutes ses ambitions
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°488 du 3 novembre 2017, avec le titre suivant : Louis de Bayser, et toutes ses ambitions
