Pierrot silencieux. Colombine en robe modeste.
C’est un univers théâtral, où les héros de la commedia dell’arte semblent déchus, que propose Katharina Ziemke. Inspirées des poèmes symboliques d’Albert Giraud, les sculptures en bois et les encres sur coton de l’artiste allemande (de 6 000 à 14 000 euros) plongent le visiteur dans un songe d’une nuit d’automne sombre et harmonieux.
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Katharina Ziemke - En galerie
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« Katharina Ziemke, La lune, comme un sabre blanc »,
Galerie Isabelle Gounod, 13, rue Chapon, Paris-3e,
www.galerie-gounod.com
Cet article a été publié dans L'ŒIL
n°717 du 1 novembre 2018, avec le titre suivant : Katharina Ziemke - En galerie