Les trésors cachés de l'Ermitage

L'ŒIL

Le 1 novembre 1998 - 112 mots

« Je ne suis pas friande d'art, je suis insatiable ». Ces quelques mots de la tsarine Catherine II, expliquent l’extraordinaire accumulation de chefs-d’œuvre que renferme le Musée de l’Ermitage de Saint-Pétersbourg. Une quarantaine de tableaux vénitiens du XVIIe et du XVIIIe siècle quittent pour la première fois leur forteresse afin de rejoindre les terres flamandes. Parmi eux, Diane et Calixte de Pietro Liberi et la Tête de jeune guerrier de Pietro della Vecchia, deux toiles acquises à l’époque de la tsarine. À noter également, deux œuvres de Giambattista Tiepolo, Quatre putti volants portant du raisin et une Annonciation, rares exemples des débuts du maître vénitien.

BRUXELLES, Centre culturel Artmédia, jusqu’au 8 janvier.

Cet article a été publié dans L'ŒIL n°501 du 1 novembre 1998, avec le titre suivant : Les trésors cachés de l'Ermitage

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