Jean-Jacques Rullier collectionne, classe, inventorie et archive par ses dessins les objets les plus ordinaires ou les actions les plus banales, selon des critères universels ou singuliers, introduisant logique et ordre là où règnent l’aléatoire et le chaos. De ses visites en 1996 aux temples bouddhistes du Cachemire ou du Tibet, cet ancien élève de Boltanski a ramené une série de planches s’apparentant à des relevés d’architectes. Présentées aux côtés de carnets, croquis et objets quotidiens, elles restituent, à la manière d’un mandala, sa vision des cultures et philosophies orientales.
BORDEAUX, Capc Musée d’art contemporain, jusqu’au 10 janvier.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Le mandala de Rullier
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°502 du 1 décembre 1998, avec le titre suivant : Le mandala de Rullier