Une quarantaine de peintures et sculptures retracent l‘étonnante ascension de l‘artiste flamand Bram Bogart, depuis sa période parisienne (1950-1959), années de vache maigre où le noir et les excès matiéristes dominent ses toiles, jusqu‘à la consécration des années quatre-vingt et quatre-vingt-dix, avec la série des Bouquets, véritable hymne à la couleur.
Ne sont pas oubliés ses récents bas-reliefs, généreusement colorés et pesant plus de cent kilos, des œuvres « truculentes et plantureuses comme une kermesse flamande ».
Galerie Protée, jusqu’au 10 novembre.
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La kermesse flamande de Bogart
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°501 du 1 novembre 1998, avec le titre suivant : La kermesse flamande de Bogart