On reconnaît immédiatement une œuvre de Grinling Gibbons (1648-1721) : ses cascades florales et végétales, criantes de réalisme, ou encore ses carpes aux formes généreuses, fruits de quelque pêche miraculeuse, encore frétillantes au bout de leur hameçon. Muni de ses burins, rabots et gouges, l’artisan savait faire surgir dans les essences de chêne ou de tilleul, copeau après copeau, des éléments d’un rare illusionnisme.
LONDRES, Victoria and Albert Museum, jusqu’au 24 janvier.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Gibbons, sculpteur sur bois
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°501 du 1 novembre 1998, avec le titre suivant : Gibbons, sculpteur sur bois