GENEVILLIERS - L’une est peintre, l’autre pratique la sculpture, mais toutes deux mettent en scènes les espaces désaffectés ou délaissés. Les toiles de Farah Atassi représentent des intérieurs très architecturés mais vides de toute présence humaine, cliniques et cependant teintés de douceur ; elles sont intelligemment confrontées à la brutalité organisée des matériaux de construction, fers à béton ou traverses de bois composant les sculptures de Stéphanie Cherpin.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
D’élégance et de déréliction
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €« Farah Atassi, Stéphanie Cherpin, Derelict », Galerie Édouard-Manet, 3, place Jean-Grandel, tél. 01 40 85 67 40, 92230 Genevilliers. Jusqu’au 12 mai.
Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°367 du 13 avril 2012, avec le titre suivant : D’élégance et de déréliction