D’élégance et de déréliction

Par Le Journal des Arts · Le Journal des Arts

Le 17 avril 2012 - 68 mots

GENEVILLIERS - L’une est peintre, l’autre pratique la sculpture, mais toutes deux mettent en scènes les  espaces désaffectés ou délaissés. Les toiles de Farah Atassi représentent des intérieurs très architecturés mais vides de toute présence humaine, cliniques et cependant teintés de douceur ; elles sont intelligemment confrontées à la brutalité organisée des matériaux de construction, fers à béton ou traverses de bois composant les sculptures de Stéphanie Cherpin.

« Farah Atassi, Stéphanie Cherpin, Derelict », Galerie Édouard-Manet, 3, place Jean-Grandel, tél. 01 40 85 67 40, 92230 Genevilliers. Jusqu’au 12 mai.

Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°367 du 13 avril 2012, avec le titre suivant : D’élégance et de déréliction

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