Questions à…Laurent Busine - Directeur du MAC’s, site du Grand-Hornu, commissaire de l’exposition

Par Philippe Piguet · L'ŒIL

Le 10 décembre 2010 - 146 mots

Depuis plus de vingt-cinq ans que vous suivez le travail de Penone, qu’est-ce qui vous fascine encore ? 
L’intelligence de la persévérance de l’artiste dans sa recherche. Penone continue à explorer toutes les solutions possibles pour répondre poétiquement à la question : « Comment faire apparaître les traces existantes d’un monde invisible ? » 

Comment appréhendez-vous sa démarche au regard de l’Arte Povera ?
 
C’est sans doute l’artiste le plus « Arte Povera », car son travail ne se limite pas à une utilisation de matériaux « pauvres », mais est fondamentalement ancré dans une démarche empreinte de modestie et de détermination. 

Qu’avez-vous cherché à mettre en valeur dans cette exposition ?
 
Les travaux de Penone acquièrent dans l’ancien site minier du xixe siècle du Grand-Hornu une résonance tout à fait exceptionnelle et émouvante dans le rapport que le spectateur peut établir avec l’histoire du site.

Cet article a été publié dans L'ŒIL n°631 du 1 janvier 2011, avec le titre suivant : Questions à…Laurent Busine - Directeur du MAC’s, site du Grand-Hornu, commissaire de l’exposition

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