Prenons un concept qui a fait ses preuves (de la sculpture dans un espace vert), une équipe gagnante (le commissaire d’expositions Solange Auzias de Turenne et l’architecte-scénographe Jean François Bodin) et un nouveau concept (une exposition monographique et non un patch-work comme les Champs de la sculpture sur les Champs-Elysées que ceux-ci avaient déjà signés) et vous aurez une exposition qui devrait plaire au grand public : le cubiste Lipchitz au Palais Royal.
Jardins du Palais Royal, jusqu’au 1er septembre.
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Lipchitz se met au vert
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°497 du 1 juin 1998, avec le titre suivant : Lipchitz se met au vert