Qui n’est jamais allé dans ce coin retiré du massif des Maures, au bout du monde, ne peut savoir ce que recueillement veut dire. Vaste champ de ruines depuis la Révolution, la Chartreuse de la Verne, fondée au XIIe siècle par les fils de saint Bruno, se cache des visiteurs, terrée dans sa solitude. Grâce à la ténacité d’Anne Englebert, la Chartreuse revit cet été. Gravures anciennes d’après Eustache Le Sueur, tableaux du XVIIe siècle montrant le monastère ou ses prieurs, reliquaires et autres objets de culte viennent raconter l’histoire de ce haut lieu de spiritualité.
COGOLIN, Demeure-musée, 4 juillet-20 septembre.
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La Verne, au bout du monde
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°498 du 1 juillet 1998, avec le titre suivant : La Verne, au bout du monde