La fiction Monory

L'ŒIL

Le 1 juillet 1998 - 114 mots

La Figuration narrative semble encore pour certains « dans le creux de la vague ». Que nenni. Une bande de critiques pertinents a compris qu’il fallait d’urgence regarder à nouveau ce mouvement des années 60 et sa vision politique et critique. L’un de ses meilleurs représentants n’est autre que Jacques Monory dont on présente ici trente grands formats. Ces larges compositions au format cinématographique découpent des faits de société, meurtres et crimes en tout genre, en autant d’agrandissements peints, de documents photo qui font d’ordinaire la une des journaux.

LES SABLES D’OLONNE, Musée de l’abbaye Sainte Croix, jusqu’au 20 septembre, cat. 98 p. avec des textes de Marc Vadey, Eric Troncy et Benoît Decron.

Cet article a été publié dans L'ŒIL n°498 du 1 juillet 1998, avec le titre suivant : La fiction Monory

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