Après la double manifestation parisienne du printemps (L’Œil n° 495), Hantaï bénéficie d’un nouvel hommage. Beaubourg hors les murs montre vingt-six peintures de ses collections, flanquées de sept autres, sorties de musées de province. La toile Sexe-prime de 1955 peut être considérée comme l’œuvre charnière de cette exposition entre le surréalisme des débuts de sa carrière et son passage vers une peinture plus gestuelle faite de signes, puis de pliages et de quadrillages.
CERET, Musée d’Art moderne, jusqu’au 27 septembre, cat. éd. Centre Pompidou, 140 F.
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Hantaï et Sexe-prime
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°498 du 1 juillet 1998, avec le titre suivant : Hantaï et Sexe-prime