Qu’il s’agisse d’allégories féminines de Burne-Jones ou de compositions sirupeuses d’Alma-Tadema, les toiles des Pré-raphaëlistes hésitent entre amour et mort, entre reconstitution et transfiguration. Présentée à l’automne dernier à Londres, puis à Munich, cette exposition d’une centaine d’œuvres devait faire escale à Amsterdam mais le Van Gogh Museum étant en travaux, c’est Hambourg qui récupère ce cadeau aigre-doux.
HAMBOURG, Kunsthalle, jusqu’au 30 août.
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Mort et transfiguration
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°498 du 1 juillet 1998, avec le titre suivant : Mort et transfiguration