Après Chantal Pescheteau ou Catherine Charbonneaux, Isabelle Bailly-Pommery fut l'une des premières femmes commissaires-priseurs en France. « Un statut bien difficile au démarrage lorsque j’ai voulu m’associer à l’un de mes confrères. » De son passage à l’étude Ader-Picard-Tajan datent ses liens avec les experts. De son association avec Me Lelièvre à Chartres, ses connaissances dans les domaines très pointus que sont les boîtes de collection ou les poupées. Avec Olivier Rieunier, ils sont réunis à Millon, associés en attendant la fusion des études dès que la loi le permettra. À leur actif, des dispersions impressionnantes comme la vente Renan, celle de l’avionneur Roland Potez, celle des voitures de Coluche, la vente Guy Laroche ou la vente Accornero. Leur spécialité ? Les ventes faites en liaison avec les notaires et gérants de tutelle. La vente de prestige du 25 novembre fait exception à la règle, mais sous le marteau d’Isabelle Bailly-Pommery une Table de cuisine de Chardin et un dessin d’Ingres, venus de collections privées, s’envoleront vers de nouveaux horizons.
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Le marteau d'Isabelle
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°501 du 1 novembre 1998, avec le titre suivant : Le marteau d'Isabelle