« Sans Man Ray, il n’y aurait pas eu Marcel Fleiss » et Marcel aurait peut-être continué le métier familial de pelletier – entreprise créée en 1933 par son père – ou le démon du jazz l’aurait repris car, en tant que critique et photographe, il a collaboré de 1952 à 1956 à la revue Jazz Hot. Et puis une rencontre décisive avec Man Ray l’amène à devenir marchand. Ce sera la galerie des Quatre Mouvements, rue de l’Université, de 1972 à 1980 ; puis, à partir de 1981, la galerie 1900-2000. L’exposition « Un quart de siècle en deux tours et quatre mouvements », présentée à la Fiac le mois dernier, réunissait les artistes aimés et toujours défendus : Bellmer, Jean-Jacques Lebel... et Man Ray bien sûr. Une passion pour la photographie partagée avec son fils David, bien que ce dernier soit davantage porté sur le contemporain. D’ailleurs, père (© Julian Schnabel) et fils présentent actuellement les clichés de Pierre Molinier dans le cadre du Mois de la Photo. À tous deux, dès l’an 2000, de rebaptiser leur galerie !
Galerie 1900-2000, jusqu’au 28 novembre.
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Marcel Fleiss, 25 ans de métier
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°501 du 1 novembre 1998, avec le titre suivant : Marcel Fleiss, 25 ans de métier