Histoires de Joconde

Auprès de la Joconde, qu’il fait bon, fait bon

Par Fabien Simode · L'ŒIL

Le 23 avril 2008 - 144 mots

« Faut qu’on la découvre, Ah ! sacré, sacré matin, Est-ce qu’elle est à Douvres ? New York ou Pékin ? »

Chanté sur l’air d’Auprès de ma blonde, le couplet fait référence au vol de La Joconde, en 1911 au Louvre. Si ce n’est que le tableau de Vinci ne fut pas retrouvé à Pékin, mais à Florence. Cet épisode a conféré à Monna Lisa le statut d’icône universelle. Un statut gagné au fil des siècles, depuis l’arrivée du portrait de Lisa Gherardini chez François Ier à Amboise, en 1516, jusqu’à sa première tournée diplomatique en 1963. Saviez-vous que le tableau devait rejoindre Londres en 1625 ? Qu’en 1800 il décora la chambre de Napoléon ? Et que la première des parodies date de 1887 ? Entre autres Histoires de Joconde…

Donald Sassoon, Histoires de Joconde, éditions Stéphane Bachès, 354 p., 26 euros

Cet article a été publié dans L'ŒIL n°602 du 1 mai 2008, avec le titre suivant : Histoires de Joconde

Tous les articles dans Médias

Le Journal des Arts.fr

Inscription newsletter

Recevez quotidiennement l'essentiel de l'actualité de l'art et de son marché.

En kiosque