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Les orientalistes de Me Gros

L'ŒIL

Le 1 mai 2000 - 130 mots

Aux ventes qu’il monte à Drouot, on croise Pierre Bergé, Jean-Paul Guerlain ou les Guerrand-Hermès.
Il faut dire que les deux ou trois dispersions orientalistes que Me Gros organise chaque année offrent un échantillonnage passionnant de l’œuvre de ces artistes voyageurs qui, depuis la seconde moitié du XIXe siècle, sillonnèrent l’Égypte, la Turquie ou le Maroc. « L’intérêt de mon métier, avoue-t-il, est de trouver des tableaux inédits comme ce Majorelle que nous sortons pour notre vente du 12 mai avec Lynn Thornton. » Associé depuis 17 ans à Georges Delletrez, spécialisé dans les bijoux et les pierres précieuses, membre du groupe Arcole pendant quatre ans, Henri Gros se rapproche aujourd’hui de Mes Buffetaud et Bailly-Pommery. Un regroupement mûrement réfléchi qui lui laissera la possibilité de cultiver pleinement sa spécialité.

Cet article a été publié dans L'ŒIL n°516 du 1 mai 2000, avec le titre suivant : Les orientalistes de Me Gros

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