C’est le 26 juin à l’Hôtel Hilton que Jean-David Cahn organise sa vente annuelle d’archéologie. « Cette dispersion, très équilibrée dans les types d’objets présentés, a comme particularité de comporter plus de 80 % de pièces sorties de collections particulières, notamment d’archéologues suisses. De petits objets viennent de celle du professeur Karl Schefold, des intailles de celle du professeur Ernst Langlotz, mort il y a une quinzaine d’années. » Notons au passage un torse d’Aphrodite, marbre romain du Ier siècle après
J.-C. (est. 70 000 FS) et un vase à figures rouges montrant une réunion d’hommes lors d’une partie de kotabos, un jeu consistant à faire tourner une coupe autour de son doigt, puis à la jeter sur un miroir afin de gagner la plus belle fille de la soirée.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Archéo bâloise
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°517 du 1 juin 2000, avec le titre suivant : Archéo bâloise