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Le Batofar sur la vague artistique

L'ŒIL

Le 1 avril 2001 - 164 mots

La péniche amarrée depuis deux ans au pied de la Bibliothèque nationale de France est devenue l’un des hauts lieux de la création contemporaine, entre musique techno et arts plastiques. Son nom, choisi par l’association créatrice du lieu « Signe et eau » (autrefois « La Guinguette »), on le doit à un bateau échoué quelque part en Islande. « Pour mener ce type de projet, il faut une sacrée dose d’inconscience, raconte l’un des membres de la bande des dix dont la moyenne d’âge avoisine les 30 ans. On programme 25 concerts par mois, de la musique techno surtout, mais aussi des expositions amenées par les galeries Yvon Lambert, GB Agency ou encore l’Ecole des Beaux-Arts de Paris ». Après avoir produit la jeune scène française, l’association se tourne de plus en plus vers la création internationale, avec, au printemps, une saison autour de Vienne, puis Tokyo en décembre.

Face au 11, quai François Mauriac, 75013 Paris, tél. 01 56 29 10 23.

Cet article a été publié dans L'ŒIL n°525 du 1 avril 2001, avec le titre suivant : Le Batofar sur la vague artistique

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