Pignon-Ernest mis en boîte

Par Camille Lechable · L'ŒIL

Le 28 septembre 2016 - 132 mots

COFFRET « La nécessité de dire des choses nouvelles détermine des formes nouvelles pour les exprimer. » C’est cette conviction qui poussa le Niçois Ernest Pignon-Ernest à réaliser sa première intervention in situ en 1966, sur le plateau d’Albion.

Cette publication sous forme de « boîte d’artiste » accompagne la rétrospective consacrée au pionnier du street-art, organisée pour ses cinquante ans de création au Musée d’art moderne et d’art contemporain de Nice. Les reproductions d’œuvres, cartes postales et fac-similés accompagnent de manière originale le livret écrit par Marie-José Mondzain et Samantha Longhi, ainsi que l’entretien avec l’artiste par Rébecca François, commissaire de l’exposition. Ce coffret s’ajoute parfaitement à la monographie d’André Velter, publiée en 2014, pour raconter ces figures à échelle humaine, ces « dons au passant » dispersés dans l’espace public.

De traits en empreintes

Ernest Pignon-Ernest, Gallimard, 108 p., 32 €.

Cet article a été publié dans L'ŒIL n°694 du 1 octobre 2016, avec le titre suivant : Pignon-Ernest mis en boîte

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