Antiquité - « S’il fallait mesurer l’importance d’une œuvre de sculpture au nombre de personnages qu’elle représente, à l’abondance des renseignements dont elle enrichit l’archéologie et l’histoire, la colonne Trajane, avec ses bas-reliefs peuplés de 2 500 figures, devrait occuper le premier rang parmi les restes de la statuaire antique. »
Les éditions Picard redonnent tout leur sens aux mots de Victor Duruy, publiés en 1882 dans son Histoire des Romains, en reproduisant dans son intégralité un reportage photographique, commandé par Napoléon III en 1862, sur les bas-reliefs de ce monument romain. Jamais publiés, ces négatifs sur verre conservés au Musée national d’archéologie de Saint-Germain-en-Laye, héritier du Musée des antiquités celtiques et gallo-romaines fondé par l’empereur, ont été numérisés et accompagnent un nouvel appareil critique de ce monument à la gloire de la puissance impériale romaine.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
À la gloire de Rome
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Alexandre Simon Stefan, Hélène Chew, La Colonne Trajane : Édition illustrée avec les photographies exécutées en 1862 pour Napoléon III, Picard, 300 p, 100 €.
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°686 du 1 janvier 2016, avec le titre suivant : À la gloire de Rome
