La couleur sans fausse note

Par Fabien Simode · L'ŒIL

Le 1 novembre 2006 - 120 mots

La couleur est aux beaux-arts ce que la note est à la musique : son plus petit dénominateur commun. Ainsi, comme pour un menuet avec sa mélodie ou ses accords, il est possible d’aborder une toile par son sujet ou par l’harmonisation de ses teintes. Effets physiologiques, psychologiques, constance des couleurs, contraste simultané, combinaison complémentaire ou triadique… On apprend à chaque page des théoriciens (Goethe, Chevreul, Munsell, Albers dont l’un des auteurs a été l’élève) et à chaque vignette – très nombreuses ! – des artistes (Vinci, Monet, Jasper Johns, Muirhead). Modèle d’accessibilité, Les Théories de la couleur ravira les curieux. Tous, sans exception.

P. Zelanski et M.-P. Fisher, Les Théories de la couleur, Thalia, 200 p., 189 ill., 35 €.

Cet article a été publié dans L'ŒIL n°585 du 1 novembre 2006, avec le titre suivant : La couleur sans fausse note

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