Dossier
La capitale française a le regard tourné vers le monde iranien et arabe à l’occasion de Paris Photo, du 19 au 22 novembre. De sujet, le Moyen-Orient devient acteur de l’art photographique, des scènes familiales de l’Irakienne Farah Nosh jusqu’aux images dépouillées du Maroc d’Yto Barrada. La jeune génération revendique une vision dépourvue de clichés, comme un écho à André Breton qui prédisait que les vraies révolutions pourraient bien s’accomplir par la force des images… Collant à ses propos, « La subversion des images », au Centre Pompidou, revisite l’utilisation du médium par les surréalistes. Le cadre parisien laisse place à d’autres horizons avec les rencontres de Bamako, au Mali, où le plus important festival de photos d’Afrique explore cette année la question des frontières. Le marché n’est pas en reste avec l’œuvre d’Isle Bing cédée à Drouot-Montaigne, tandis que Sotheby’s transfère ses ventes de photographie de Londres vers Paris.
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