Les hauts et bas de l’art chinois

Par Armelle Malvoisin · Le Journal des Arts

Le 14 mars 2012 - 81 mots

TOULOUSE - Adjugé 12,4 millions d’euros le 26 mars 2011 par la SVV toulousaine Chassaing-Marambat, le sceau en jade néphrite blanc d’époque Qianlong n’a jamais été payé. PAR ARMELLE MALVOISIN

À la suite de cette folle enchère, il sera remis en vente par la maison le 31 mars sur une estimation de 3 à 5 millions d’euros. Le même jour, toujours à Toulouse, le commissaire-priseur Marc Labarbe proposera un sceau inédit d’époque Jianqing, sur une estimation basse de 600 000 euros.

Légende photo :

Sceau en jade blanc de l'empereur Qianlong (r.1736-1795), empreinte : "Qianlong Yubi" ("Du Pinceau Impérial durant l'ère Qianlong"), H totale : 77,5 mm, Empreinte : 99 x 98,5 cm - © Photo : courtesy Chassaing-Marambat

Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°365 du 16 mars 2012, avec le titre suivant : Les hauts et bas de l’art chinois

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