L’art de la subversion

Par Le Journal des Arts · Le Journal des Arts

Le 18 mars 2005 - 121 mots

De Fluxus au situationnisme, en passant par le cabaret du Chat Noir ou la pataphysique, La Lignée oubliée écrit l’histoire de l’art des ces regroupements qui n’ont cessé, depuis le milieu du XIXe siècle, de « saper » l’ordre social et culturel. L’ouvrage commence par analyser les changements du rôle et du statut de l’artiste sous la monarchie de Juillet et la « vie de bohème », puis s’intéresse à Marcel Duchamp, Émile Goudeau, Charles Cros, Alphonse Allais ou encore Félix Fénéon qui ouvre les revues anarchistes à l’art contemporain. Après avoir évoqué dada et les surréalistes, il se plonge dans les revendications du lettrisme et du situationnisme, pour finir sur Présence Panchounette…

Marc Partouche, La Lignée oubliée, éditions Al Dante, Paris, 2004, 378 p., 18 euros, ISBN 2-84761-058-8.

Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°211 du 18 mars 2005, avec le titre suivant : L’art de la subversion

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