La rétrospective « Gustave Courbet », jusqu’au 28 janvier au Grand Palais, à Paris, est l’occasion de nombreuses publications. Avec l’imposante étude Courbet (Citadelles & Mazenod, 179 euros), Ségolène Le Men reconsidère la place de Courbet dans l’histoire de l’art du XIXe siècle.
En trois ouvrages, Thomas Schlesser rappelle l’audace du peintre (Courbet, un peintre à contre-temps, Scala, 15 euros), trace une biographie intime (Le Journal de Courbet, Hazan, 27 euros) et, avec Bertrand Tillier, ressuscite l’humour et l’acharnement de la presse à l’égard de l’artiste (Courbet face à la caricature. Le chahut par l’image, Kimé, 20 euros). Jorge Colli propose une analyse technique de ses compositions (L’Atelier de Courbet, Hazan, 29 euros) tandis que Jean-Pierre Ferrini (Bonjour Monsieur Courbet, Gallimard, 16,90 euros) et Annabelle Cayrol et Josyane Chevalley (Courbet l’insoumis, Jacob-Duvernet, 19 euros) offrent une vision romancée de la vie de l’artiste franc-comtois.
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Courbet à la page
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°269 du 16 novembre 2007, avec le titre suivant : Courbet à la page