L’artiste et la mort

Par Le Journal des Arts · Le Journal des Arts

Le 1 mai 1994 - 138 mots

L’évocation de la mort et de la résurrection est un thème récurrent dans l’œuvre peint de Caspar David Friedrich.

Ses remarquables dessins pour tombeaux sont moins connus et révèlent ses liens profonds avec la période des Lumières de l’Europe du Nord. Les études à l’Académie de Copenhague comprenaient des leçons de sculpture données par Abildgard et Wiedewelt, deux artistes dont les monuments funéraires sont parmi les plus imaginatifs dans ce domaine. Le livre de Hans Joachim Kluge reproduit 32 dessins de l’artiste réalisés pour des monuments funéraires et commémoratifs, avec des entrées supplémentaires sur huit monuments construits. Les chapitres d’introaduction couvrent ses premières années à Greifswald, ses années à Copenhague et sa collaboration à Dresde avec l’architecte Gottlob Christian Kühn.

Caspar David Friedrich, Deutsche Verlag für Kunstwissenschaft, Berlin, 208 pages, 84 illustrations en noir et blanc, 124 DM.

Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°3 du 1 mai 1994, avec le titre suivant : L’artiste et la mort

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