Le Corbusier recalé par l’Unesco

Par Le Journal des Arts · Le Journal des Arts

Le 7 juillet 2009 - 209 mots

Réuni du 22 au 30 juin à Séville (Espagne), le Comité du patrimoine mondial n’a pas retenu la candidature de l’œuvre architecturale et urbaine de Le Corbusier.

SÉVILLE - Sur les 27 sites en lice, seuls 13 ont été retenus. Ainsi du Palais Stoclet (Belgique), de la tour romaine dite « Tour d’Hercule » (Espagne), du centre historique de Ribeira Grande (Cap-Vert), des ruines de Loropéni (Burkina Faso), du système hydraulique historique de Shushtar (Iran), de la ville sacrée de Caral-Supe (Pérou), du pont-canal de Pontcysyllte (Royaume-Uni), de l’urbanisme horloger de la Chaux-de-Fonds et du Locle (Suisse) ou encore des tombes royales de la dynastie Joseon (République de Corée). Plusieurs sites naturels ont également été distingués : la mer des Wadden (Allemagne et Pays-Bas), les Dolomites (Italie), la montagne sacrée de Sulamain-Too (Kirghizstan) et le mont Wutai (Chine). La Grande Saline à Salins-les-Bains (Jura) a par ailleurs été associée à la saline Royale d’Arc-et-Senans, inscrite depuis 1982. Cette 33e session a également été marquée par l’exclusion de la vallée de l’Elbe à Dresde (Allemagne), inscrite en 2004, qui figurait sur la liste rouge. Deux sites naturels, au Belize et en Colombie, ont été inscrits sur la Liste du patrimoine en péril, ainsi que les monuments historiques de Mtskhata (Géorgie).

Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°307 du 10 juillet 2009, avec le titre suivant : Le Corbusier recalé par l’Unesco

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