Londres : le « top ten » des marchands

Le Journal des Arts

Le 3 novembre 2000 - 216 mots

Selon une étude récemment publiée par le Prospect Shop’s Business Ratio, Simon Dickinson est le premier marchand en Grande-Bretagne pour l’exercice 1998-1999, avec un chiffre d’affaires dépassant les 103 millions de livres.

Londres (de notre correspondante) - Cette étude – relative aux sociétés publiques et aux SARL – chiffre à 103,4 millions de livres (1,176 milliard de francs) les ventes du groupe Simon Dickinson, à Londres et à New York. En seconde position, le groupe de Richard Green, composé de trois galeries, réalise un chiffre d’affaires total de quelque 63,5 millions de livres (722,3 millions de francs) dont 40,7 millions de livres en tableaux anciens. Spink est troisième au classement, avec des ventes d’œuvres d’art – notamment asiatiques et occidentales – s’élevant à 32,4 millions de livres (366,3 millions de francs). L’un des plus grands marchands d’art contemporain, Anthony d’Offay, se situe en quatrième position avec 26,3 millions de livres d’activité (297,4 millions de francs). S.J. Phillips, spécialisé dans l’argenterie et les bijoux, se place en cinquième position avec 22 millions de livres (250 millions de francs). Puis dans l’ordre apparaissent Partridge Fine Arts (19,47 millions de livres), Eskenazi (19 millions de livres), Mallet & Sons (18,56 millions de livres), Nevill Keating Pictures (17,36 millions de livres) et enfin Artemis Fine Arts (16,52 millions de livres).

Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°114 du 3 novembre 2000, avec le titre suivant : Londres : le « top ten » des marchands

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