Le prestige du XVIIIe siècle sous le marteau

Par Marie Potard · Le Journal des Arts

Le 18 juin 2014 - 121 mots

PARIS - Les ventes de mobilier du XVIIIe siècle de même provenance se font rares. Me Mathias s’apprête pourtant à en organiser une le 27 juin, composée de 50 lots (est. 1,6 à 2 M€).

Le clou de la vente est une commode par Louis Joubert d’époque Transition portant la marque au feu « Bellevue n° 118 », commandée pour la chambre de Madame Adélaïde au château de Bellevue. Estimée 300 000 euros, elle n’a jamais quitté la famille depuis son achat lors des ventes révolutionnaires. La vacation comprend aussi une jardinière d’époque Louis XVI, par Adam Weisweiler (est. 100 000 à 150 000 euros) et une série de 4 toiles par Hubert Robert (est. 250 000 à 300 000 euros).

Le 27 juin à 14h, Mathias, Baron Ribeyre & Associés, E. Farrando, Hôtel Drouot salle 10 & 16

Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°416 du 20 juin 2014, avec le titre suivant : Le prestige du XVIIIe siècle sous le marteau

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