Le mobilier XXe a toujours le vent en poupe

Par Le Journal des Arts · Le Journal des Arts

Le 14 avril 2000 - 143 mots

Pour preuve, un lampadaire de parquet réalisé pour Paul Eluard par Alberto Giacometti a été adjugé 2,2 millions de francs à Drouot, le 31 mars, dans une vacation de l’étude Laurin, Guilloux, Buffetaud.

Une table basse « flaque d’eau » de Jean Royère, proche de celle vendue 55 000 francs le 10 mars à Drouot, est montée à 43 000 livres sterling (plus de 460 000 francs) le 6 avril chez Sotheby’s. Le même jour, un tapis d’Émile-Jacques Ruhlmann a fait 50 000 livres et un secrétaire en ébène de Macassar, galuchat et ivoire de la maison Dominique 91 500 livres. Pas moins de 97 000 livres (plus d’un million de francs) ont été payées pour une enfilade en bois de palmier et bronze d’Eugène Printz et un charmant bureau de dame « aux nénuphars » de Majorelle s’est vendu 40 000 livres.

Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°103 du 14 avril 2000, avec le titre suivant : Le mobilier XXe a toujours le vent en poupe

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