Corot rêve

Par Le Journal des Arts · Le Journal des Arts

Le 17 octobre 2012 - 117 mots

KARLSRUHE - La rétrospective « Camille Corot » (1796-1875) organisée en 1996 par Vincent Pomarède au Grand Palais n’étant pas passée par l’Allemagne, celle que lui consacre la Staatliche Kunsthalle de Karlsruhe est un événement outre-Rhin.

Près de 160 peintures, dessins et gravures– et même un exceptionnel cliché-verre prêté par la BNF –, dont un tiers de prêts américains, retracent la carrière du paysagiste français. Si l’accrochage de 1996 avait révélé l’intérêt du peintre pour la figure, la démonstration faite à Karlsruhe montre un artiste plus mélancolique qu’on ne le pense, jusqu’à flirter avec le romantisme, sinon un certain symbolisme.

« Camille Corot. La nature et le rêve »

Staatliche Kunsthalle, Hans-Thoma-Str. 2-6, Karlsruhe. Jusqu’au 6 janvier 2013.

Voir la fiche de l'exposition : Camille Corot. La nature et le rêve

Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°377 du 19 octobre 2012, avec le titre suivant : Corot rêve

Tous les articles dans Expositions

Le Journal des Arts.fr

Inscription newsletter

Recevez quotidiennement l'essentiel de l'actualité de l'art et de son marché.

En kiosque